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Assemblée constitutive (nov. 1998). Approbation des statuts (déc. 1998). Élection du 1er Conseil d’Administration et du bureau.
Autorisation du siège :
Des fusions : IME / MAS Gaifleury à Saint-Georges-de-Reintembault, EHPAD La Guilmarais à Vitré.
Écriture du premier projet associatif.
Ouverture d’un nouvel établissement :
Foyer de Vie d’Avenel à Fougères.
Création du site internet.
Grande rencontre avec tous les salariés.
Ouverture d’un nouvel établissement :
EHPAD Sainte-Anne à Laignelet.
Construction d’un nouvel établissement: L’EHPAD Les Alleux à Melesse.
Construction d’un nouvel établissement: L’EHPAD de Paron à Fougères.
Création de la direction Qualité. Transfert de l’IME EEAP à Fougères.
Nouveau siège social.
Réouverture de l’EHPAD La Chesnardière.
Nouveau schéma de direction avec une structuration en 2 pôles : Pôle Personnes Âgées et Pôle Personnes en situation de Handicap.
Signature du CPOM 2018/2022.
Reconnaissance de l’Association comme relevant de l’Intérêt Général.
Gestion de la crise Covid-19.
Nouveau schéma de direction: Direction des Opérations et Direction de la Qualité et des Projets.
Signature d’un mandat de gestion avec l’Association Aide, Accueil, Amitié concernant l’EHPAD Paul Laizé de Port-Brillet.
Intégration de l’EHPAD Paul Laizé de Port-Brillet.
Aujourd’hui comme à l’origine, ce qui importe, ce n’est pas uniquement l’action, c’est aussi l’esprit avec lequel est menée l’action.
Fondée par Anne Boivent et Jean-Baptiste Le Taillandier en 1827, la Congrégation exerce, depuis toujours, des missions d’éducation, d’enseignement et de soins. Elle entend ainsi répondre aux besoins des personnes fragiles quels que soient leur âge et leur handicap/
Dès 1833, un hospice est ouvert. Des malades incurables sont accueillis par la Congrégation dans l’Abbaye de Rillé acquise par le Père Jean-Baptiste Le Taillandier.
A partir de 1840, les Sœurs ouvrent des écoles pour l’éducation des enfants (quatre en 1842, vingtsix en 1855, soixante-huit en 1862). Elles y installent également des dispensaires leur permettant de prodiguer des soins à l’ensemble de la population.
En 1846, débute l’action en faveur de jeunes sourds.
Dès le départ, la volonté est affirmée d’éduquer, de rééduquer les enfants sourds de manière à leur permettre d’avoir accès à la vie sociale et professionnelle « ordinaire ».
En 1858, un pensionnat de jeunes filles est ouvert à Rillé, d’autres réalisations suivront.
Agissant au départ principalement en Ille et Vilaine et en Mayenne, la Congrégation s’implante ensuite dans d’autres diocèses de France et à l’étranger.
A partir des années 1980, la Congrégation réorganise sa présence dans les structures qu’elle a fondée. Elle transmet progressivement la direction des établissements et services à des laïcs.
C’est dans ce cadre qu’en 1998, est créée l’Association Anne Boivent.
Document en cours d’élaboration.